Correspondance

Bonjour Rotariens,

Cela fait bientôt quatre mois que je suis en Equateur. Je m’y sens de mieux en mieux chaque jour. Mes amis, ma famille, l’école … Tout va pour le mieux.
Mon espagnol a fait d’énormes progrès, je peux maintenant me débrouiller et dire ou expliquer ce que je souhaite. Et grace aux autres étudiants d’échange et en particulier Key, un américain dans le même lycée que le mien. mon anglais est bon maintenant. Il m’arrive de penser ou jurer en anglais. Ca devrait être en espagnol mais apparement l’anglais domine.

Ici à Quito, le Rotary n’est pas très présent. J’ai rencontré mon conseiller environ 3 fois depuis mon arrivée et eu une soirée avec les rotex de mon club mais sans plus. Mon conseiller m’a dit qu’il va essayer d’organiser un diner avec les deux autres étudiantes d’échange de mon club. Clara d’Allemagne et Savanah des Etats-unis. Avec Key, nous voulions partciper à des actions rotariennes mais mon club m’a dit que ce n’est pas possible. On m’a dit de voir avec le Rotaract.

Normalement je dois changer de famille le 5 janvier. Mais mon club ne sait pas encore ou je vais aller et si je vais changer. Le temps nous le dira.

Il y a deux semaines je suis parti pour mon troisième bustrip au coeur de la forêt amazonienne (Partie Équatorienne). On y a passé trois jours et trois nuits. On était un groupe de 24 étudiants d’échange. Les 5 garcons dans la même chambre. C’était un hotel avec des cabanes en bois au milieu de la foret au bord d’un lac. C’était beau. Le groupe a été séparé en groupe de 6 avec un guide pour chaque. Le premier soir on a fait un marche dans la jungle la nuit. On vu des araignés gigantesques.

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Hola.

Dans mon premier comte-rendu je vous disais que je partais pour mon bustrip stage d’espagnol à Mompiche, à la plage.
Et bien ce premier bustrip était vraiment bien. Première rencontre avec la moitié des autres students exchange. On était dans un hotel, le Decameron : 5 piscines, plages et ile privée, restaurant à volonté toute la journée… On était plutôt bien installé ! On était 70 jeunes donc pour les cours d’espagnol il y avait 4 groupes. Le groupe 1 était pour les moins bon et sans surprise il s’agissait de mon groupe. Les cours étaient le matin, on avait notre après-midi et le soir de nouveau 1h30 de cours. C’est là bas que j’ai pris pour la première fois de ma vie les vagues du plus grand océan du monde.

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Me revoilà donc pour vous raconter un peu mes aventures indiennes de ce mois-ci. Désolé pour le retard, je vais essayer de me rattraper en vous faisant partager du mieux que je peux mon quotidien et mes impressions.
Je vais commencer par les choses les moins drôles et surtout celles auxquelles on s’attend le moins je pense, mon changement de famille. Je ne vais pas m’étendre trop sur le sujet mais je vais quand même essayer de vous expliquer un peu ce qui s’est passé, car ça fait aussi partis de mon échange après tout.
Le mois-dernier, je vous disais que tout allait pour le mieux avec ma maman d’accueil (je vivais seulement avec elle), et c’est réellement ce que je pensais. Même si on n’avait pas une grande complicité, ni de long sujet de discussions, je pensais que ça viendrait avec le temps en apprenant à mieux se connaître. Malheureusement, j’ai compris après beaucoup de temps qu’elle avait une tout autre opinion de moi. Selon elle, mon comportement était mauvais depuis le début car je ne souhaitais pas m’intégrer dans sa famille, je ne voulais pas l’aider à la maison… pleins de reproches comme ceux-ci qui me sont un peu tombé dessus d’un coup, sans prévenir.

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Hola,

Je vais bien, je me suis bien intégré dans ma nouvelle famille. Aujourd’hui je suis à Guayaquil et j’ai pu rencontrer le fils et la fille de mes parents d’acceuil. Hier soir on a joué de la guitare et chanter. C’était simpas. Ma mère d’acceuil m’a proposer de passer mon année avec eux si je le souhaite. Je ne sais pas.

Quito est une ville superbe au milieu de vallé à 2800m d’altitude. Quand le temps est dégagé on peux voir les volcans qui entourent la ville. D’autant plus que j’habite au dernier étage d’un immeuble, la vue est magnifique. Mon père d’acceuil est le vice-amiral de la marine équatorienne, ils sont donc aisé (Dame de maison, chauffeur, piscine …) mais il y a aussi beaucoup de gens pauvres dans les rue de Quito. A Quito la température est agréable, ni chaud, ni froid (19 degrès la journée). Par contre il n’existe pas de code de la route ici, ou alors personne ne le connait.

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Bonjour tout le monde,

Voilà maintenant un peu plus d’un mois que je suis ici, en Inde. (Exactement un mois et un jour au moment où j’écris ce premier compte-rendu.) Un premier mois plein de découvertes, des choses qui peuvent sembler si banales pour les indiens mais qui pour nous sont extraordinaires. Je suis donc arrivée le 27 juillet, au matin, à l’aéroport de Cochin qui se situe à environ 1 h en voiture de ma ville, Thrissur, située dans l’Etat du Kerala au sud-ouest de l’Inde. J’ai été accueillie très chaleureusement à l’aéroport par quelques membres de mon club rotary dont mon conseiller jeunesse ainsi que ma sœur d’accueil et sa cousine, ma maman d’accueil étant restée à la maison pour préparer le petit déjeuner typique de la région. Dès ces premières heures en Inde et même dès la sortie de l’aéroport ce fut un dépaysement total pour moi. Les bruits des klaxons omniprésents, une chaleur moite dû à la mousson, l’accent indien qui est assez dur à comprendre au premier abord (mais après un mois ici je m’y suis habituée), l’état des routes et la manière dont les gens conduisent ici.

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